Vive tension à Kampala
Les pourparlers entre le gouvernement congolais et le mouvement rebelle du
23 mars (M23) ont débuté sous un climat de tension. Le chef de la
délégation congolaise, le ministre des Affaires Etrangères Raymond
Tshibanda, a qualifié le discours du M23 de « peu courtois et teinté de
beaucoup de contre-vérités ».
Ces accises ont débuté sur un ton de convivialité avec le discours du
ministre ougandais de la Défense, facilitateur délégué de la Conférence
internationale de la région de Grands lacs (CIRGL). Il a défini les règles
du jeu qui doivent conduire les discussions.
Prenant à son tour la parole, le ministre congolais Raymond Tshibanda et
principal négociateur de la partie congolaise a démontré l’ouverture et la
disponibilité du gouvernement au dialogue constructif.
C’est à l’issue du discours du M23 que la tension a été perceptible dans le
chef des deux parties.
François Rucogoza, secrétaire exécutif du mouvement rebelle et ancien
ministre provincial de la Justice du Nord-Kivu, a chargé le gouvernement
congolais dans ses propos sur un ton arrogant.
« La situation sécuritaire dans l’Est de notre pays s’explique en partie
par le refus du gouvernement central de reconnaître qu’il y a des problèmes
internes qu’il faut diagnostiquer et traiter en profondeur. Elle est aussi
l’expression d’une conséquence visible d’une mauvaise gouvernance
caractérisée par le manque d’un leadership visionnaire », a affirmé
François Rucogoza.
Le délégué du M23 a déclaré que le gouvernement congolais entretient des
groupes armés pour la déstabilisation de ses voisins.
23 mars (M23) ont débuté sous un climat de tension. Le chef de la
délégation congolaise, le ministre des Affaires Etrangères Raymond
Tshibanda, a qualifié le discours du M23 de « peu courtois et teinté de
beaucoup de contre-vérités ».
Ces accises ont débuté sur un ton de convivialité avec le discours du
ministre ougandais de la Défense, facilitateur délégué de la Conférence
internationale de la région de Grands lacs (CIRGL). Il a défini les règles
du jeu qui doivent conduire les discussions.
Prenant à son tour la parole, le ministre congolais Raymond Tshibanda et
principal négociateur de la partie congolaise a démontré l’ouverture et la
disponibilité du gouvernement au dialogue constructif.
C’est à l’issue du discours du M23 que la tension a été perceptible dans le
chef des deux parties.
François Rucogoza, secrétaire exécutif du mouvement rebelle et ancien
ministre provincial de la Justice du Nord-Kivu, a chargé le gouvernement
congolais dans ses propos sur un ton arrogant.
« La situation sécuritaire dans l’Est de notre pays s’explique en partie
par le refus du gouvernement central de reconnaître qu’il y a des problèmes
internes qu’il faut diagnostiquer et traiter en profondeur. Elle est aussi
l’expression d’une conséquence visible d’une mauvaise gouvernance
caractérisée par le manque d’un leadership visionnaire », a affirmé
François Rucogoza.
Le délégué du M23 a déclaré que le gouvernement congolais entretient des
groupes armés pour la déstabilisation de ses voisins.
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