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Affichage des articles du janvier, 2014

Rendre à L’Enfant son identité pour préserver ses droits et son avenir

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copie d'un Acte de Naissance Le bourgmestre de la commune de Goma, M. Kambere NZUMUKA James, a déclaré vouloir enregistrer en 2014 plus de vingt naissances par jour à l’état civil. Selon lui, il s’agit d’améliorer les statistiques nationales concernant l’enregistrement des naissances à l’état civil. Selon les dernières statistiques locales sur l’enregistrement des naissances à l’état civil, 70% d’enfants ont été enregistrés en 2013. Aussi, le bourgmestre de la commune de Goma se dit prêt à améliorer sensiblement la sensibilisation des populations avec l’implication des responsables des maternités. « Aujourd’hui nous sommes à 70% des naissances enregistrées à l’état civil et c’est une fierté. Après analyse, nous pensons que c’est parce qu’il y a eu des efforts faits pour sensibiliser la population. C’est pour dire que la quasi-totalité des gens étaient davantage conscients par rapport aux deux années précédentes ou nous n’étions qu’à 40% » souligne t-il. L’importance d

Clémentine Ngarumuryango: une Congolaise passionnée par son métier de soudeuse

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Cohabitation pacifique des élèves de Nzulo et les élèves déplacés de Masisi et Walikale.

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La localité de Nzulo est située à quelques 23 kilomètre de la ville de Goma, en territoire de Masisi, province du Nord-Kivu. Cette localité comprend plus de   15 mille personnes dont   11 mille déplacés, ou la majorité sont des femmes. A   Nzulo,   une   école primaire dénommée      ‘’Maindule’’   encadre une majorité des enfants de cette partie du territoire. Le climat au sein de salles de classe est   sain, ‘’ le degré de collaboration des élèves dans des salles des classes est non seulement bon mais aussi inquiétant’’. Souligne Willy Sanvura représentant des enseignants de L’EP Maindule.  L’école primaire Maindule encadre 350 enfants autochtones et une centaine des enfants déplacés. ‘Dans ma classe, il ya de fois je manque un stylo mais mon collègue me prête presque tout les jours car moi je ne pas de cartable pour mettre mes fournitures scolaire’’ explique Ushuuda Kunva de 4eme année primaire. Contrairement aux enfants autochtones, certains se plaignent   de ce qu’ils a